Recent development under Covid-19 has not just affected human lives but adversely affected businesses as well. The export sector has not been left out of this ordeal as exporters are faced with the challenge of reducing the volume of exports due to some lowered orders and port restrictions from recipient countries.
Managing Director of AB farms, Mr. Benjamin Agbesi, shared his experience. According to him, he exported Asian vegetables to Europe three times a week prior to Covid-19 with an average of 8 tons but the case is not the same in this period. “In these times, I have reduced my shipment to about 5 tons once a week but the cargo can only take half (2.5) of what I send to the Airport. This means I have to throw the rest away because the domestic market is not familiar with the kind of vegetables my company exports. Prices being offered for produce now have drastically reduced while the cost of air freight has increased. This is no fault of the airline but lack of passenger flights”
He mentioned that having a cold storage facility at this time will help to store left over produce that can be exported another time to reduce financial loss.
Les récents développements dans le cadre du CoVID-19 n’ont pas seulement affecté des vies humaines, mais ont également eu un impact négatif sur les entreprises. Le secteur des exportations n’a pas été épargné par cette épreuve, car les exportateurs sont confrontés au défi de réduire le volume des exportations en raison de certaines commandes en baisse et des restrictions portuaires des pays destinataires
M. Benjamin Agbesi, directeur général des fermes de l’AB, a fait part de son expérience. Selon lui, il exportait des légumes asiatiques vers l’Europe trois fois par semaine avant la CoVID-19 avec une moyenne de 8 tonnes, mais la situation n’est plus la même pendant cette période. “Au cours de ces périodes, j’ai réduit ma cargaison à environ 5 tonnes une fois par semaine, mais la cargaison ne peut prendre que la moitié (2,5) de ce que j’envoie à l’aéroport. Cela signifie que je dois jeter le reste parce que le marché intérieur ne connaît pas le type de légumes que mon entreprise exporte. Les prix qui sont proposés pour les produits ont maintenant considérablement diminué alors que le coût du fret aérien a augmenté. Ce n’est pas la faute de la compagnie aérienne, mais le manque de vols de passagers”. Il a mentionné que le fait de disposer d’un entrepôt frigorifique à l’heure actuelle lui permettra de stocker les produits restants qu’il pourra exporter une autre fois afin de réduire les pertes financières.